leurre le plus cher du monde
Lesdix tapis les plus chers du monde sont tous été tissés en Iran. Le plus cher, un tapis de soie d’Ispahan est évalué 4 millions 450 mille dollars. … Imprimer cette page. mercredi, 27 novembre 2013 07:30 Les tapis les plus chers du monde Taille de police Réduire la taille de la police Augmenter la taille de police; Galerie d'images; Add new comment; Les dix tapis les plus
Afinde vous éclairer dans votre sélection, nous avons décidé de vous partager les 10 meilleurs types de leurre à black-bass et leurs utilisations. 1. Le Worm : Un leurre à black-bass tout en finesse. En anglais ce mot veut dire:
Lescourses de lévriers. Les lévriers étant les chiens les plus rapides du monde, ils sont utilisés depuis des millénaires par les hommes pour leur vitesse, que ce soit dans le cadre de la chasse ou du sport - la chasse prenant d’ailleurs parfois des allures de sport. La course de lévriers, sous toutes ses formes, reste le sport le plus
Lasupposée neutralité carbone des entreprises en 2050. La neutralité carbone en 2050 devenant un élément de langage que vous pouvez revendre à vos clients/investisseurs, il n’est pas étonnant de voir de plus en plus d’entreprises la déclarer. Pourtant, cela n’a aucun sens sur le plan physique : le CO2 n’a pas de frontières.
LeurreSouple Sandra 18cm Delalande. Ce leurre légendaire depuis plus de 25 ans, permet la capture de tous les carnassiers du monde aussi bien dans les mains d’un expert que d’un débutant. Leurre à section triangulaire, il possède l’exceptionnelle qualité d’action d’une virgule et d’un shad. Son corps pisciforme évoque
nonton true to love sub indo dramaqu. Le mathématicien et philosophe Olivier Rey publie chez Desclée de Brouwer, en cette fin d’année 2018, un essai sur le transhumanisme dont le titre donne le ton. Leurre et malheur du transhumanisme1 indique en effet clairement l’intention de l’auteur qui n’est pas de produire un ouvrage exhaustif reproduisant l’ensemble des points de vue et retraçant une généalogie d’ensemble, mais de proposer des arguments s’opposant aux délires messianiques du transhumanisme. Position engagée du reste pleinement assumée dès l’introduction Comme l’indique son titre, cet ouvrage ne prétend pas à la neutralité qui de toute façon, sur une question de ce genre, me semble hors de saison quand il y va de notre être, il est nécessaire de se prononcer » p. 10-11. Trois chapitres structurent l’ouvrage qui marquent en même temps une montée en puissance du niveau conceptuel. Autant les deux premiers chapitres se lisent-ils aisément, même pour le lecteur amateur et non spécialiste de la philosophie, autant le troisième et dernier se révèle-t-il plus ardu et nécessite une culture philosophique déjà bien assise. Quelles sont les grandes étapes du raisonnement d’Olivier Rey ? Dans un premier temps, le philosophe se propose de prendre à la lettre les arguments transhumanistes afin d’en montrer d’une part l’absurdité quand ils sont poussés au bout de leur logique, et d’autre part les enjeux souvent passés sous silence. La seconde partie, quant à elle, soutient une thèse surprenante et stimulante c’est parce que l’homme moderne est diminué qu’il cherche à s’augmenter, c’est en raison de la perte de repères engendrée par la révolution industrielle qu’il aspire à devenir tout-puissant. En dernier lieu, Olivier Rey propose de considérer le transhumanisme comme l’aboutissement de la modernité ou, pour être plus exact, de la science moderne dont ses précédents ouvrages ont déjà offert au lecteur la féroce critique. On se retrouve ici en terrain plus connu pour le lecteur familier des écrits du philosophe. Reprenons alors dans l’ordre les trois chapitres qui composent ces Leurre et malheur du transhumanisme. Le transhumanisme, une imposture ? Tout d’abord, Olivier Rey rappelle le caractère gnostique du transhumanisme pour cette doctrine, en effet, l’humanité n’est qu’une condition transitoire à dépasser, qu’un état déficient qu’il s’agit de venir combler par le progrès scientifique et donc matériel ce qui en fait donc un gnosticisme paradoxal. De ce point de vue, l’amélioration et l’augmentation à l’origine du dépassement de la condition humaine transhumanisme sont intimement liées à la sortie de cette condition posthumanisme. Une fois le projet identifié, l’auteur s’évertue à faire ressortir les trois étapes rhétoriques qui structurent la publicité qui en est faite. Premier temps faire l’étalage de tous les avantages liés à l’innovation en question ; deuxième temps assurer, devant les risques que fait naître le changement radical, que la situation n’a guère évolué depuis que l’homme est homme ; troisième et dernier temps destiné aux ultimes réfractaires de toute façon, vous n’y pouvez rien, le progrès impose son implacable marche en avant. Prenons l’exemple de l’introduction des tablettes dans les écoles et les collèges exemple que ne donne pas Olivier Rey qui illustre son raisonnement par les OGM et le transhumanisme en tant que tel 1 L’arrivée de la technologie va générer des gains d’apprentissage exceptionnels, et rétablir une égalité entre les élèves ; 2 le déficit de maîtrise de la langue française et les troubles de l’attention ne datent pas d’hier, et c’est en progressant dans l’animation pédagogique que nous pourrons résoudre ces problèmes ; 3 De toute façon, c’est trop tard, la modernité a envahi les établissements scolaires râlez donc, vous devrez tout de même faire avec ! Implacable logique qui désarme les adversaires et les sceptiques du tout-technologique. Toutefois, en tant que mathématicien de formation, Olivier Rey ne pouvait pas ne pas se poser la question de la pertinence scientifique des promesses tenues par les thuriféraires du transhumanisme. La puissance et les performances annoncées sont-elles crédibles ? Assurément non. D’une part, l’intelligence artificielle pourrait se substituer à l’intelligence humaine à la seule condition d’accepter de réduire la seconde à la première pourra-t-on créer une intelligence artificielle qui puisse distinguer le bien du mal ? D’autre part, les enjeux économiques sous-jacents et le financement des recherches par des multinationales permettent de douter – d’un doute au moins méthodique –, de la parole des scientifiques dont les recherches voire le salaire sont pris en charge par ces entreprises. On en vient alors à se demander la véritable finalité de ses discours orientés vers l’avènement d’un paradis terrestre qui aurait aboli la mort » et serait parvenu à faire reculer les frontières de la vie ». Eh bien, pour le philosophe, cette rhétorique futuriste est une vieille ruse de guerre » car elle conduit à masquer la situation contemporaine d’ores et déjà caractérisée par la mainmise de la technologie sur l’humain » p. 37. A nous projeter dans un avenir lointain, quitte à nous donner le vertige ou à nous faire peur, les transhumanistes contribuent soit à nous faire oublier les problématiques contemporaines soit à nous faire accepter l’état présent du monde, car il semble tout de même plus raisonnable que ce qui nous est promis. Tel est diminué qui croyait augmenter La deuxième partie du livre constitue une réflexion à propos de la question suivante de quoi le discours transhumaniste est-il révélateur ? Vous connaissez l’expression populaire plus on en parle, moins il y en a ». Par exemple, il n’y eut jamais autant de théories de la motivation au travail depuis que les salariés sont aussi peu impliqués dans leur organisation. Dans ce cadre, Olivier Rey considère que les promesses d’augmentation du transhumanisme reflètent un état de diminution de l’humanité Une réalité qui rend particulièrement réceptif au discours transhumaniste est l’état de diminution dans lequel se trouve aujourd’hui l’être humain ». Pour être plus précis, il faudrait dire que l’amélioration matérielle promise vient combler une déficience qui, quant à elle, est de nature politique et spirituelle. Pour étayer cette thèse, l’auteur rappelle que les ensembles humains se sont structurés en communautés de petite taille jusqu’à la révolution industrielle qui accoucha de grands ensembles sociaux anonymes. En outre, l’outil devenu machine, c’est-à-dire automatisme, accrut le pouvoir de l’homme sur la nature. Si bien que les irréfutables gains matériels s’accompagnent d’une perte des repères collectifs mais aussi transcendants. L’être humain se trouve réduit à sa force de travail, et ne se trouve plus être qu’un simple pion dans un système qui ne vise qu’à préserver voire renforcer sa dynamique de croissance. Le paradoxe est donc que plus l’humanité semble maîtriser le cours du monde, plus elle a prise sur la nature par le développement de ses moyens techniques, plus chaque être humain singulier se trouve en situation de vulnérabilité que devenons-nous sans GPS ? Que devient une discussion entre deux personnes dont la mémoire est stockée sur des serveurs, dans le cloud ? Et qui sait encore entretenir un verger ? L’être humain, privé des repères communautaires doit dès lors s’en remettre au Gestell pour pouvoir subsister sans ne plus pouvoir faire quelque chose de ses mains ni donner un sens à son existence parcellisée. Olivier Rey cite Günther Anders La place que nous, hommes d’aujourd’hui, nous occupons dans l’histoire humaine est misérable ». Avec Anders, Rey met en évidence le régime général de la mise à disposition du monde tout doit pouvoir être exploité, tout doit pouvoir trouver une utilité et un usage, rien ne doit rester au repos sans avoir trouvé une destination. La Recherche et Développement » témoigne de ce processus sans fin ni sens qui consiste à inventer des procédés pour ensuite leur découvrir une application, certes utile, mais certainement futile. Et les domaines de l’exploitation de se multiplier c’est désormais le corps qui est l’objet de cette maximisation, et c’est par conséquent dans ce projet général d’arraisonnement qu’il convient de comprendre le transhumanisme. Du transhumanisme au capitalisme Dans le troisième et dernier chapitre de son livre, Olivier Rey élargit encore le spectre de sa réflexion en inscrivant le transhumanisme dans le prolongement de la modernité, et plus précisément de la science moderne. Le philosophe commence par rappeler que le singulier de La science » est plus que problématique ; tout d’abord, parce qu’il existe des sciences, et même une multiplicité de sciences dont chaque champ soulève des questions épistémologiques propres, mais surtout parce qu’il convient de distinguer le régime antique de la science de son projet moderne. Si tous deux sont bien tendus vers la connaissance, un ensemble de différences ne permet pas de les regrouper sous une même bannière. En effet, la physique d’Aristote, c’est-à-dire son analyse de la nature, prend appui sur la physis la croissance, la poussée, de telle sorte que c’est à partir du vivant que l’ensemble de la nature se trouve pensé » p. 92. Tout au contraire, les modernes considèrent que l’univers est écrit en langage mathématique. Tandis que la science antique part de son objet, c’est-à-dire du donné qu’elle se propose d’étudier, la science moderne prend pour origine le calcul et le modèle en organisant à partir d’eux la nature. Cette dernière approche contribue à effacer la distinction entre le vivant et le non-vivant, et même à appréhender le vivant à partir du non-vivant en évacuant la finalité des catégories scientifiques. Ainsi, Olivier Rey note que nombre de biologistes contemporains ont cessé de s’interroger sur la vie, sur sa définition, sur sa nature, sur sa différence d’avec le non-vivant, si bien qu’ils en viennent à étudier un objet non identifié. Mais reculons encore d’un pas selon l’auteur, l’appréhension mathématique du monde tient au surpassement de l’entendement par la volonté qui se produisit chez Duns Scot puis Guillaume d’Occam. Du point de vue thomiste, l’autofinalisation du vivant ne fait que refléter la bonté et la puissance de leur Créateur ; au rebours, pour les nominalistes, l’autonomie accordée au vivant s’avère être une entorse à la puissance divine, une limitation au pouvoir de la volonté de Dieu. Il faut donc en conclure qu’une science basée sur l’entendement mène à la contemplation et à la mise en exergue des caractéristiques propres à chaque région de l’étant, alors qu’une science fondée sur la volonté court à la recherche de la maîtrise du monde. Reste alors à conclure le raisonnement. Finalement incapable d’évacuer la téléologie, la biologie moderne l’a réintégrée sous la forme réductrice de la survie et de l’autoconservation. On aura reconnu là les concepts maniés par la théorie de l’évolution à la suite de laquelle le transhumanisme vient s’inscrire. Car, derrière le discours lénifiant sur la mort de la mort » se fait jour le véritable enjeu celui d’un monde artificiel soumis à la sélection naturelle, celui d’une société de part en part gouvernée par la compétition et la recherche de performance. On découvre alors, sous les apparences d’un avenir radieux, l’exacerbation de la lutte des classes qui prend tous les atours d’une lutte pour l’augmentation. Conclusion En conclusion, l’intérêt de ces Leurre et malheur du transhumanisme réside moins dans l’adhésion ou le rejet des thèses défendues par Olivier Rey, que dans l’exemple qu’il donne d’un traitement véritablement philosophique de la question. En effet, cet essai d’une part met en exergue la structure argumentative du transhumanisme et pointe ainsi les limites des discours de ses promoteurs, et d’autre part inscrit le transhumanisme dans une filiation, historique et philosophique. Cette approche tranche assurément avec les réflexes symétriques de l’apologie et de la calomnie, et s’avère être une invitation à l’ouverture du débat plus qu’à sa clôture. Olivier Rey, Leurre et malheur du transhumanisme, Paris, Declée de Brouwer, 2018
Posted On 28 octobre 2019 Avec la profusion de matériels actuellement disponible sur le marché, il peut être parfois difficile pour un pêcheur débutant de pouvoir sélectionner correctement un leurre à black-bass. Bien des facteurs sont par ailleurs à prendre en considération afin de déclencher l’attaque de ce fabuleux poisson météo, saison, température, configuration du cours d’eau,…etc Afin de vous éclairer dans votre sélection, nous avons décidé de vous partager les 10 meilleurs types de leurre à black-bass et leurs utilisations. 1. Le Worm Un leurre à black-bass tout en finesse En anglais ce mot veut dire “vers”. Les Worns imitent comme leur nom l’indique toutes sortes de lombrics. Pour toutes les pêches dites “finesses”, les worms vous seront très utiles et sont d’excellents leurres pour la pêche du black-bass. Ils sont adaptés aux poissons méfiants et surpêchés. Afin de les utiliser au mieux, il vous faudra avoir repéré le passage habituel de certains poissons. Le but étant de lancer le worm devant le nez du black-bass et de le laisser couler. Il sera alors irrésistible pendant la coulée. Pour le montage, il y a pas mal d’options Wacky, weightless, texas rig, neko rig etc… YamaSenko GARY YAMAMOTO En ce qui me concerne, c’est probablemement un des worms les plus vieux sur le marché européen et sûrement un des leurres à black-bass les plus efficaces du marché . Nous vous conseillons de le monter en weightless avec un hameçon texan classique ou un hameçon texan “Widegap”. Deathadder 6 de DEPS Très certainement le worm qui déclenche le mieux les très gros black-bass ! Armez-le aussi en weightless. Il sera l’arme ultime aux abords des herbiers denses. Il faudra l’animer de manière très lente, le twitcher doucement sur le fond. Les touches ne se feront pas attendre. Swamp Mover REINS Ce modèle s’adapte parfaitement sur les montages wacky. Piquez le leurre au milieu, au niveau de sa boursouflure grâce à un hameçon spécial wacky. DoLive Stick OSP La matière utilisée par OSP est tout simplement incroyable avec ce leurre. La souplesse et la viscosité de ce leurre à black-bass dépassent tout ce qui à déjà été conçu dans le monde du leurre. C’est un leurre très dense, qui nage tout seul à la descente. Il est possible de le monter quasiment avec toutes les techniques. Cependant, j’ai un petit faible pour le drop shot et le weightless. En wacky, rajoutez dans la tête du leurre un insert en plomb ou en tungstène. Cela donnera l’impression que le worm cherche à rentrer dans le sol au fond de l’eau. 2. Le stickbait Le leurre à black-bass typique de surface Appelé pencil lure pour les anglophones, le stickbait est le leurre à black-bass qui donne généralement le plus de sensations fortes car les attaques sont visibles par le pêcheur. Chose qui peut nous mettre en état de défibrillation instantané! Les stickbaits qui ont une nage régulière et les hybrides avec une nage plus érratique. Nous les utiliserons lorsque la température de l’eau sera au dessus de 17°, même si cela n’est pas une science exacte. Si vous êtes dans un milieu où les ablettes foisonnent, l’utilisation des stickbaits s’avèrera fatale si les black bass les prennent en chasse. Justine 115 EVERGREEN Un stickbait de 115mm sans billes! Il nage tout seul. Tout le monde arrivera à le faire “slider” en surface sans effort. Une structure dense qui vous permettra de lancer très loin et qui déclenchera les attaques des gros spécimens. Sammy 100 LuckyCraft Le stickbait emblématique qui à fait découvrir la pêche en surface sur tous les continents. C’est un leurre à black-bass à avoir absolument dans votre boite de pêche. Brachiostick DEPS Un corps très long, une sonorité grave, profilé pour être lancé loin et armé avec des OWNER ST46, il prendra de très gros spécimens! Lorsque vous arrêtez l’animation, ce leurre vibrera sur place grace à un système de ressort situé à l’intérieur de sa structure un leurre unique pour le black-bass. Honcho Pencil JABBERS Un stickbait qui se tient à la verticale pendant la pause. Doté d’une seule bille, ce stickbait finnesse de 85mm pourra être utilisé aussi bien en casting qu’en spinning. Un choix de coloris original que les black-bass ne manqueront pas de déguster. 3. Le popper Nous les utiliserons sous casiment les mêmes conditions que la famille des stickbaits à quelques détails prêts. Etant donné que c’est un type de leurre à black-bass que nous utilisons lentement, il est primordial de pêcher avec sur des zones où les poissons viennent fréquement. Il est possible de faire du “powerfishing” avec des stickbaits, en revanche cela se complique avec les poppers. J’ai aussi une préférence pour les utiliser quand il n’y a pas de vent, dans des zones abritées ou encaissées. Louder 50 OSP Un mini popper à forte sonorité et muni d’un plumeau sur le triple arrière. Vous pouvez lui faire faire un bruit de bulle avec des tirées franches. Il permet de déclencher de beaux spécimens dans les bois morts. Louder 70 OSP Identique à son petit frère cité ci-dessus, vous pouvez aussi lui imprimer une nage “walking the dog” en plus de son popping. Sa machoire supérieure pointue et rallongée va lui procurer un son unique dans l’univers des poppers. Yellow Magic Dairitsu Une exception chez les poppers, un design japonais et des peintures faites à la main. Une sonorité hors du commun qui fera craquer les très jolis black-bass. 4. Les Softs jerks/ Softs shad pour les endroits encombrés Cette famille de leurre va vous permettre de prospecter des endroits encombrés et très chargés comme des amas de bois morts, forêt immergée, pontons bois/béton, différentes structures, éboulis etc… Super Fluke ZOOM Un soft jerk que vous allez pouvoir faire valser rapidement ou lentement. Il est possible de le monter en weightless, texan, drop shot etc… Une valeur sûre dans beaucoup de conditions climatiques et géographiques. Sûrement le meilleur rapport qualité/prix du marché dans les softs jerkbaits. Fluke 4 ZOOM Le petit frère tout aussi efficace que le une différence de taille à adapter en fonction des conditions et des envies des poissons. Un large panel de couleurs disponibles. Incontournable!!! DoLive Shad OSP Comme à son habitude OSP à utilisé sa matière magique sur cette petite tuerie. A Monter sur tête plombée pour ratisser les extérieurs ou les falaises, en texan pour passer dans les obstacles ou en weightless sur des poissons à vue. Il s’adapte dans la plupart des pêches. MAGIQUE! Gros bass espagnol séduit par le Doliveshad OSP Sakamata Shad Disponible en plusieurs tailles mais cela reste la plupart du temps de bonnes bouchées. Nous l’utilisons en 6 et 8 pouces. Le sofjerk le plus planant grâce aux petites ailettes situées sur les cotés de sa tête. A avoir absolument ! Sakamata 8inch DEPS 5. Les Craws et Créatures Ce type de leurre va vous permettre de viser les black-bass en sous activité, lorsque les eaux sont froides par exemple, en état léthargique ou même s’ils ne font que se reposer. Le but est de gratter le fond lentement comme le ferait une écrevisse. Vous pouvez généralement coupler ces leurres avec des rubbers jigs pour augmenter leur attractivité. DoLive Craw OSP C’est pour nous l’écrevisse la plus réaliste du marché actuelle, OSP à encore fait des miracles avec elle. La dolive craw est un aimant à gros bass en texas rig ou en trailer sur un jig. SS Gill OSP Un leurre avec une nage unique, lors des grandes tirées le SSGILL va redescendre en spirale tout en agitant sa double queue comme le ferait un nageur. Très efficace au japon sur les bass de plus 60cm archi éduqués. Il a déjà bien fait ses preuves en France avec les spécialistes des gros bass français. Brush Hog ZOOM La première créature imposante qui est arrivée sur le marché français il y a une grosse décénie. Un incontournable dans les pêches du bass à gratter. Un corps dense et fin qui passera à travers les différents types de branchages et d’obstacles. Deathadder twintail DEPS Une créature à double queue en forme de twist. Possible de l’utiliser en texas rig, en weightless et même en surface en buzzing grub!! Ce leurre fait bouger les gros poissons, mais en même temps c’est DEPS, donc rien d’étonnant venant du designer OKUMURA KASUMAZA. Heikenagi craw PITCH&STRIKE Une écrevisse très dense avec laquelle la pêche en “slideback” est particulièrement efficace dans les structures. Elle à été conçue par un ami et c’est un véritable passionné du black-bass. Le produit est tout simplement incroyable. 6. Le spinnerbait Le leurre à black-bass tout terrain Généralement nous utilisons les spinnerbaits lorsque le vent souffle très fort. Les palettes métalliques font très bien réagir les black-bass dans les conditions venteuses mais pas que… Pêcher les obstacles, herbiers et structures se fait relativement bien en powerfishing. Effectivement, l’hameçon se masque relativement bien parce qu’il est protégé par la partie supérieure du spinnerbait. Ensuite, il s’agit de s’adapter aux conditions pour choisir la couleur, la forme, l’épaisseur et la taille des palettes. S’ajoute aussi la couleur, le grammage et la forme de la tête principale. B-Custom DEPS Un spinnerbait très solide et relativement compact même avec de forts grammages. Incassable sur des black-bass, il sera un excellent allié pendant vos pêches de powerfishing. Hight pitcher OSP C’est le modèle le plus facile à utiliser, disponible dans des grammages relativement légers, parfait sur les poissons éduqués, il ne tire pas dans la canne car l’épaisseur des palettes est très fine. Un excellent modèle pour les pêches finesses de prospections. En terme de design, on remarque une tête hyper réaliste, une jupe très souple, un hameçon fin de fer mais particulièrement solide. Enorme bass de 68cm capturé par Kenshin au Hight Pitcher OSP Super Delta Force EVERGREEN Pour l’équipe Rodmaps, il s’agit du meilleur spinnerbait du marché!!! Une étude de longues années à été faite sur ce leurre pour atteindre la perfection, notament dans le grammage 7gr. Il se lance très loin, son armature métallique est conique contrairement à tous les spinnerbaits qui eux sont cylindriques. Une tête triangulaire qui associée à son armature permet de récupérer le spinnerbait le plus vite possible sans qu’il décroche en dehors de l’eau ou se mette en travers. Sylvain et son plus gros bass du séjour au Super Delta Force EVERGREEN 7 Les Cranckbaits et Lipless C’est ma pêche coup de coeur. Ramener des cranckbaits le long des falaises ou descendre les cassures d’herbiers et se faire arrêter net est synonyme de bonheur! Très efficace pendant les petites brises, un temps nuageux et une température d’eau aux alentours des 16°. L’utilisation d’une fibre de verre sera optimale pour pêcher des journées entières au cranckbait sans se faire mal au poignet. La partie des gros crancks Blitz Max OSP Qu’il s’agisse de la version DR ou MR, ce cranckbait à fortes vibrations saura vous satisfaire lorsque les poissons sont actifs. Sa densité est faite grâce à la conception du corps en nid d’abeille designer par Toshinari Namiki, permet d’avoir un leurre léger mais qui se lance très loin. Un petit coup de coeur pour le coloris Fire Tiger pour les coups du soir. Geoffrey et son Blitz Max OSP, une histoire qui risque de durer Evoque DEPS Le plus gros cranckbait japonais, destiné aux énormes black-bass, Pêcher avec ce leurre se fera beaucoup au mental car sa taille imposante risque de ne faire monter que les très gros. Un rolling impressionnant mais une canne adaptée sera tout de même nécessaire. Celui là avec les yeux plus gros que le ventre Evoke DEPS F-Sonic DEPS Un lipless avec une bavette, le F-Sonic est un leurre à black-bass unique dans sa conception. Le F-Sonic ne s’accroche que très rarement même en passant en plein dans les bois morts. Très utile dans les pêches rapides d’obstacles. Fred nous régale au F-SONIC DEPS Geronimo de Jackall Un cranck en Balsa, sans billes, et qui remonte comme un bouchon à la pause. Ceci vous permettra de pêcher très vite au dessus des obstacles! 8. Jerkbait et longbill le leurre à black-nass le plus polyvalent Une catégorie de leurres sous utilisée à mon goût. Et pourtant rien ne ressemble plus à un poisson qu’un jerkbait.. C’est sûrement le type de leurre le plus polyvalent car on peut faire du power fishing mais aussi pêcher très lentement. Ensuite, il faut adapter la forme, la taille et la couleur en fonction du milieu et de l’alimentation des poissons à l’instant “T”. Si vous trouvez le bon, c’est le carton assuré! Petite selection de jerks! Vision 95 Megabass Certainement le design le plus poussé dans l’histoire du leurre à black-bass et du leurre tout court .Yuki Ito faisait des merveilles à l’époque, et le vision est sûrement sa plus belle création ! De plus, lorsque vous arrêtez l’animation, ce poisson nageur continu son rolling pendant une demi seconde. B’ Freeze LuckyCraft Le premier jerkbait à attraper autant de beaux poissons par toutes conditions climatiques et géographiques. Il est toujours indémodable ! “designé” par le célèbre Seïji Kato il y a quelques décénies, ce jerkbait vous donnera toujours autant de sensations dans la canne…enjoy! Balisong DEPS Un jerkbait proportionné qui se lance très loin même face au vent. Il s’est montré décisif dans des zones d’herbiers sur beaucoup de carnassiers dans le monde. Un bass crusing qui est venu intercepter le Balisong DEPS 9. La Frog le leurre à black-bass spécial herbiers Le seul type de leurre qui vous permet de pêcher sur des herbiers très dense. Tous les bass postés dans ces derniers se feront une joie de vous faire des aspirations démoniaques à travers l’épaisse couche verte! Des cannes à action de pointe seront nécessaires pour ferrer correctement les poissons. Discussion privée pour capturer un gros bass Poppin Furbit Frog Optimum Une version américaine de la popper frog. Elle a le cup le plus profond, ce qui lui donne le bruit de popping le plus fort jamais vu pour une frog. Popper Frog Evergreen Une grenouille très solide dotée d’hameçons fort de fer. Un bruit sourd, un design original et rigolo, avec des finitions à la japonaise. Un produit excellent et bien conçu. Adrien se fait coffrer sa popper frog EVERGREEN Basirisky de DEPS La plus célèbre Frog du marché de part sa forme de crawler. Elle possède une nage unique. Un hameçon parfaitement présenté permet d’avoir un excellent ratio de poissons ferrés. Choisissez votre taille 50,60,70 As you want! Vidda est en forme grâce à sa Basirisky aqua marine DEPS 10. Le Swimbait le leurre dédié aux gros black-bass Les swimbaits sont destinés à la chasse des gros spécimens. Ils sont généralement efficaces en début et fin de saison lorsque les poissons ne veulent pas laisser passer de grosses proies. Armée de Swimbaits ES DRIVE Evergreen Une amplitude tout aussi importante que le ES FLAT mais coule extrêmement doucement. Modèle qui permet de pêcher des spots marqués. Il est irrésistible! ES FLAT Evergreen Vous pouvez le crancker en le ramenant de manière rectiligne. Il a une nage très ample qui permet d’envoyer des signaux de détresse à grandes distances. Les poissons réagissent très bien lorsque les carpes se mettent à frayer. Mon Fillot au ES FLAT EVERGREEN Hightsider DEPS Une nage très équilibrée qui ne décroche jamais. Un modèle lourd qui ne fera décoller que les golgoths, si vous avez une touche dessus, attention ça risque de piquer les yeux! Hightsider, une valeure sûre La pêche reste une science inexacte, cependant Rodmaps essaie de vous faire partager son expérience. N’hsitez pas à compléter cet article avec vos tops leurres. Liens utiles Quelle canne à pêche choisir en fonction du leurre employé ? Apprendre à pêcher avec un guide de pêche Débuter la pêche au leurre Trouver un guide de pêche
Il faut avouer que la comparution » sur TF1 à laquelle le ministre de la Culture, F. Mitterrand, a dû se résigner, jeudi 8 octobre 2009, n’était pas simple. Elle était d’abord des plus humiliantes. Il lui fallait répondre d’accusations honteuses de tourisme sexuel en Thaïlande, voire, selon certains accusateurs, de pédophilie, déduites d’un chapitre de son livre, paru en 2005, intitulé La mauvaise vie », paru chez Laffont. Il est vrai que les pages incriminées qu’on a pu lire dans Le de jeudi 8 octobre, pouvaient prêter à confusion. Aussi est-il d’autant plus intéressant d’observer les procédés d’expression ou les leurres que l’auteur a mobilisés pour tenter de se sortir de cette mauvaise passe. 1- La promotion artistique de son livre Il s’est d’abord attaché à promouvoir son livre tant par son genre que par sa qualité, en espérant que son excellence artistique lui vaudrait l’indulgence. 1- Le genre du livre Puisque c’était le genre qui créait le malaise, on aurait attendu que l’auteur le clarifiât. Il ne l’a pas fait et on le comprend. Il ne fallait pas livrer à l’adversaire l’aveu d’une autobiographie qu’a tenté d’entrée de lui arracher la présentatrice cela revenait à donner la seule pièce à conviction attendue. Mais prétendre qu’il ne s’agissait que de fiction, c’était s’exposer à l’incrédulité en raison de la précision de certaines scènes Il y a des descriptions qui sont rudes, » reconnaît l’auteur avec raison. Il a donc continué à cultiver l’ambiguïté volontaire qui existe depuis la parution du livre. Est-ce une fiction ou une autobiographie ? Sur la couverture, dit-il, il n’y a rien de marqué. Ce n’est ni un roman ni des mémoires.. J’ai préféré laisser les choses dans le vague. » La part autobiographique n’est pas niée pour autant C’est un récit, admet-il, mais j’ai préféré ne pas mettre un récit parce que pour moi c’est un tract, c’est-à-dire que c’est une manière de raconter une vie qui ressemble effectivement beaucoup à la mienne, mais qui ressemble aussi à la vie de beaucoup d’autres gens ». Ce n’est pas un récit totalement autobiographique, dit-il encore, vous l’avez bien noté, il n’y a rien marqué dessus ». La même ambiguïté subsiste, du reste, par l’emploi répété du mot garçon » et non de celui d’ homme » Oui, j’ai eu des relations avec des garçons, reconnaît-il, on le sait, je ne le cache pas ». Peut-être, dans ce milieu particulier, le mot garçon » a-t-il le même sens que celui de fille » pour parler d’une prostituée sans pour autant faire référence à un mineur. Un non-initié, on l’admettra, peut se méprendre. Pour contourner la difficulté, il avait pourtant à sa disposition la théorie formaliste d’analyse littéraire en vogue dont l’École abrutit ses élèves et France Culture, ses auditeurs. Il y fait référence par une brève allusion, en corrigeant la présentatrice qui évoque ses expériences présumées de tourisme sexuel » 1 Oui, expériences du narrateur ! » rectifie-t-il aussitôt sans expliquer davantage cette subtilité, sans doute jugée byzantine et incompréhensible pour le public de TF1. Peut-être a-t-il pensé avec raison qu’on risquait de lui rire au nez s’il s’était engagé sur cette voie et avait expliqué ce qu’il voulait dire. La théorie formaliste à la mode enseigne, en effet, qu’il faut distinguer l’auteur », être social de chair et d’os qui écrit, et le narrateur », une sorte de fantôme réputé assumer la charge du récit ». Car, paraît-il, on ne saurait attribuer à l’auteur les faits et gestes de ses personnages. Le malheur est que Flaubert qui s’y connaît en roman, a clairement prévenu que Mme Bovary, c’était lui ! », et qu’ en cas de diffamation, les juges ont montré que ce dédoublement imaginaire était nul et non avenu en condamnant chaque fois non pas le narrateur, cet ectoplasme qui n’existe pas, mais l’auteur qui lui existe bel et bien et ne peut fuir ses responsabilités. Seulement, à vouloir souligner la part de fiction de son livre, M. Mitterrand s’exposait à la contradiction en signalant la raison pour laquelle le Premier Ministre l’aurait beaucoup apprécié Il avait été frappé, a-t-il tenu à révéler, par le ton de sincérité et peut-être même je dirais, par le courage dont le livre faisait part sic ». De telles qualités méritent-elles d’être saluées si le livre n’est pas le récit d’une expérience personnelle ? 2- La qualité artistique du livre Simultanément, on le voit, M. Mitterrand a insisté sur la qualité de son livre, pensant que son excellence artistique reconnue lui vaudrait excuse, sinon absolution. Il use à cette fin de trois leurres. a- L’un est le sophisme fondé sur un amalgame. Il a repris la formule attribuée à Henri Jeanson On ne fait pas de bonne littérature avec de bons sentiments », mais pour insinuer un raisonnement a contrario selon lequel de mauvais sentiments feraient nécessairement de la bonne littérature. Il souligne ainsi que son livre s’appelle la mauvaise vie, qu’ il raconte le parcours d’une existence difficile et que dans cette existence difficile, cette mauvaise vie, il y a aussi des mauvais lieux. » Or, la relation inverse est-elle automatique ? Suffit-il d’étaler de mauvais sentiments pour faire de la bonne littérature ? N’est pas Baudelaire qui veut ! Il n’y a pas que des fleurs à pousser sur le Mal ! b- M. Mitterrand recourt ensuite au leurre de l’argument d’autorité. On l’a déjà perçu dans l’opinion favorable du Premier Ministre qu’il a tenu à rapporter. Cette fois, il souligne qu’ à sa sortie son livre a été bien accueilli par la critique ». Or, on sait ce que vaut la critique du milieu littéraire parisien depuis la charge de Romain Gary dans Vie et mort d’Émile Ajar » Gallimard, 1981 il n’y voit que coteries, cliques à claques, copinages, renvois d’ascenseurs, dettes remboursées ou comptes réglés. » Et la manière dont il l’a roulée avec La vie devant soi », un roman publié en 1975 sous le pseudonyme d’Émile Ajar, et qui lui a valu un second Prix Goncourt - ce qui réglementairement n’est pas possible - lui donne quelque crédit. c- Enfin, il ne manque pas de faire jouer le leurre de la pression du groupe en rappelant le succès du livre que beaucoup de gens » ont acheté. Malheureusement, l’opinion du groupe n’est pas un critère infaillible d’excellence le groupe s’est tant de fois trompé à travers l’Histoire ! 2- La pose de la victime Tout en faisant cette promotion incertaine de son livre, M. Mitterrand a pris peu à peu la pose de la victime. On reconnaît dans la manière le leurre d’appel humanitaire pour stimuler le réflexe de compassion et d’assistance à personne en danger. Il faut le reconnaître, il manie ce leurre avec doigté en l’associant à plusieurs autres leurres. 1- Le premier est la prétérition qui permet d’y toucher sans avoir l’air d’y toucher, d’affirmer une chose en prétendant qu’on ne le fait pas pour égarer l’auditeur. Ainsi se présente-t-il en victime tout en le niant par deux fois Laurence Ferrari, se plaint-il, vous pouvez imaginer que les trois jours que je viens de passer n’ont pas été des jours très très faciles. Je ne suis pas là pour me plaindre. On m’avait dit que la politique était quelque chose de dur, je le savais, je le constate. » Ou encore, confie-t-il Excusez-moi, je suis ému ! C’est normal ! Pendant ce temps, il regarde humblement ses mains caresser son pupitre, tête penchée Je pense à beaucoup d’autres choses en même temps que je parle. - À quoi ? demande la présentatrice. - Je pense à mon honneur, à ma famille, à mes enfants, à ma mère. Je ne voudrais pas faire de plaidoyer pro domo comme ça. Je pense à tout cela, dit-il d’une voix chantante. Forcément je suis ému, ce sont des choses qui sont importantes. » 2- Il peut ainsi insister de trois manières sur l’injustice dont il se dit victime. a- L’une est de faire ressortir la contradiction entre l’image négative qu’on veut donner de lui et celle si positive, insinue-t-il, que les téléspectateurs auraient de lui par sa notoriété d’ homme de télévision Beaucoup de Français me connaissent, observe-t-il, ils m’ont vu à la télévision ». Le verbe connaître » est ici une hyperbole audacieuse peut-on soutenir que l’on connaît quelqu’un pour l’avoir vu à la télévision ? La preuve ? Quel téléspectateur aurait soupçonné, à ses célébrations de stars et de princesses dans ses émissions, que M. Mitterrand avait pratiqué le tourisme sexuel en Thaïlande ? b- Une deuxième façon consiste à stimuler le réflexe de condamnation de l’homophobie, en dénonçant chez ses détracteurs l’amalgame entre homosexualité et pédophilie. Il commence piano par périphrase et euphémisme dans une posture de recueillement où il contemple ses mains sur le pupitre la tête de côté, en soutenant que son livre raconte une vie qui ressemble effectivement beaucoup à la sienne, mais qui ressemble aussi à la vie de beaucoup d’autres gens qui ont vécu durant leur existence avec une certaine douleur, une certaine difficulté à expliquer qu’ils étaient différents. » Puis il y revient, cette fois avec une grande véhémence et la clarté de la propriété des termes Oui, s’écrie-t-il, j’ai eu des relations avec des garçons, on le sait, je ne le cache pas, mais il ne faudrait pas confondre, il ne faudrait pas confondre - ou alors on serait revenu à l’âge de pierre - l’homosexualité et la pédophilie et si vous lisez le livre bien clairement, je pense que c’est tout à fait évident. » c- Une troisième manière de souligner l’injustice qui le frappe est, pour obtenir leur indulgence, de stimuler chez ses auditeurs les réflexes propres au fond de culture chrétienne pouvant subsister en eux et qui valorise la pénitence et le non-jugement des autres. - Il se présente comme le pécheur repenti ; il fait acte de contrition. Après n’avoir d’abord concédé qu’ une erreur », et non un crime » ni même une faute », il admet avec le temps avoir fait une faute contre l’idée de la dignité humaine et il pense qu’il faut se refuser absolument à ce genre d’échanges. ». Il reconnaît s’être fait honte ». Mais c’est pour célébrer sa victoire sur lui-même et les forces du mal Ce qui est important, dit-il, c’est la manière dont on surmonte ce genre de situation, dont on en sort. Le livre que j’ai écrit est celui de quelqu’un qui sort, qui sublime un certains nombre de situations difficiles. » On connaît la parole évangélique promettant plus de joie dans le ciel pour un pécheur qui fait pénitence que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de pénitence. - Il se réfère ensuite à un second précepte évangélique qui commande de ne pas juger autrui il reprend les mots même de l’admonestation du Christ aux accusateurs de la femme adultère Que vienne me jeter la première pierre, s’écrie-t-il, celui qui n’a pas commis ce genre d’erreur. Parmi tous les gens qui nous regardent ce soir, quel est celui qui n’aurait pas commis ce genre d’erreur au moins une fois dans sa vie ? » M. Mitterrand a de ses auditeurs une bien singulière représentation pour leur prêter à tous la même fascination qu’a exercé sur lui le tourisme sexuel. Quel culot ! 3- Les rôles de procureur et de prédicateur Le paradoxe est qu’il en profite aussitôt pour, dans un amalgame inattendu, opérer dans la distribution manichéenne instaurée un soudain renversement des rôles qui ne manque pas d’audace d’accusé il devient accusateur puis prescripteur. 1- La retenue, l’indulgence, voire la mansuétude, qu’ en victime, il vient d’exiger de ses accusateurs, n’est alors plus de mise quand il se met à son tour à les accuser. S’il se refuse à démissionner, c’est, fulmine-t-il, pour ne pas rajouter l’indignité à l’injustice du traitement qui m’est fait par des gens dont je peux comprendre le ressentiment comme Marine Le Pen et par d’autres dont je ne peux absolument pas comprendre l’aveuglement et peut-être même le désir de rancune, de vengeance comme certains élus socialistes. Et toutes les personnes qui m’accusent de ce genre de chose devraient avoir honte de faire une chose pareille. Et toutes les personnes qui font cela, ce sont des personnes qui font l’amalgame constamment qui est le premier stade de la calomnie et de l’injustice. C’est tout ! » Sans doute a-t-il raison de dénoncer l’amalgame entre homosexualité et pédophilie. Mais on ne voit pas où il y en a un à propos du tourisme sexuel en Thaïlande. 2- M. Mitterrand se permet même de se présenter en prescripteur de morale son livre, soutient-il, est un livre moral ». Il use du leurre de la vaccine à cette fin. Comme le vaccin qui inocule des germes inactivés pour susciter des anticorps, le leurre de la vaccine consiste à reconnaître un peu de mal pour faire admettre ensuite un grand bien. M. Mitterrand admet avoir eu des relations avec des garçons … il ne le cache pas. » Il pense même, a-t-on vu plus haut, qu’il a fait une faute contre l’idée de la dignité humaine ». Mais c’est pour prétendre avoir désormais quelque titre à grimper à la tribune ou en chaire pour distribuer des conseils autorisés Il faut, déclare-t-il, se refuser absolument à ce genre d’échanges. » Je condamne absolument le tourisme sexuel qui est une honte. Je condamne la pédophilie à laquelle je n’ai jamais participé d’aucune manière. » Seulement, n’est-ce pas aller un peu vite en besogne ? Un repenti peut-il prétendre aussi vite jouer au procureur et au prédicateur sans prêter à sourire ? Les leurres mobilisés montrent comme est fragile, voire peu convaincante, la défense de M. Mitterrand qui, pour finir, ne se fonde que sur des allégations. Il demande à être cru sur paroles. Il est vrai que ses propres écrits retournés contre lui le plaçaient dans une position inconfortable. Le principe fondamental de la relation d’information, en effet, selon lequel nul être sain ne livre volontairement une information susceptible de lui nuire, a pour corollaire qu’on ne croit volontiers que les aveux à charge qu’une personne peut faire contre elle-même. Quant à ses protestations vertueuses, on en doute. On doit, cependant, savoir gré à M. Mitterrand de n’avoir pas agi comme son oncle François qui prétendait effrontément, en 1993, à des journalistes belges qui l’interrogeaient, ne même pas savoir comment était faite une écoute téléphonique il n’en avait jamais vu ! La condamnation par la Cour de Cassation des responsables des écoutes téléphoniques de l’Élysée » a fait justice de ce mensonge éhonté, le 30 septembre 2008. Le neveu n’a pas, lui au moins, prétendu tout ignorer du tourisme sexuel en Thaïlande. Il reste pour son avenir ministériel qu’un ministre est un peu comme la femme de César, lequel justifiait son divorce par un simple soupçon d’infidélité, car, disait-il, elle ne devait pas même être soupçonnée ! Paul Villach 1 expériences présumées de tourisme sexuel », dit la présentatrice ignorante un exemple de plus d’utilisation fautive de l’adjectif présumé » qui signifie considéré comme avant tout examen » et porte atteinte à la présomption d’innocence.
Le leurre COUNTDOWN MAGNUM de RAPALA est le leurre numéro un mondial en mer et en traîne. Son action parfaite est reconnue dans le monde entier. C’est “LE” leurre de traîne de référence, en mer comme en rivière. Le CountDown Magnum est le numéro un des leurres en mer, spécialement étudié pour la traîne à grande vitesse avec une excellente stabilité. Pour le régler et vérifier son action après un combat afin de préserver sa performance à grande vitesse, veuillez vous reporter aux instructions détaillées dans le document . Le CountDown Magnum plonge rapidement grâce à sa bavette ; les plus petites tailles peuvent se lancer pour les poissons plus en surface ou les petits thons. Tout a commencé avec un Finlandais affamé et un couteau à découper. C’était dans les années 1930, lorsqu’un pêcheur en est arrivé à la conclusion suivante les gros poissons mangent les petits, et plus particulièrement les petits poissons blessés. Ainsi commence le plus grand récit de pêche jamais conté. Alors que Lauri Rapala pêchait dans les eaux du lac Paijanne en Finlande, il se mit à ramer doucement et observa. Et il constata que les prédateurs affamés qui se précipitaient sur un banc de vairons attaquaient systématiquement celui qui nageait moins bien, qui semblait blessé. Lauri réalisa que s’il pouvait concevoir un leurre qui imitait le mouvement d’un vairon blessé, il pourrait alors attraper plus de poissons, gagner plus d’argent et il ne passerait plus son temps à attraper des vifs. Alors, Lauri se mit au travail. Il tailla, sculpta et rabota jusqu’à ce qu’un leurre commença à prendre forme. À l’aide d’un couteau de cordonnier et de papier de verre, il réussit son premier leurre à base de liège en 1936. La surface extérieure du leurre était recouverte de papier d’aluminium provenant d’emballages de tablettes de chocolat, et son revêtement protecteur était obtenu en fondant des négatifs photos. Mais le plus important est qu’il imitait à la perfection la nage d’un vairon blessé. La légende raconte que quelquefois, Lauri pouvait attraper plus de 250kg de poissons par jour grâce à ce nouveau leurre ! Et comme la rumeur de ses énormes prises se propagea, la réputation de ce leurre ne cessa d’augmenter. Le reste, comme on dit, appartient à l’histoire. Ce premier leurre était l’ancêtre du légendaire Original Floating » Rapala, qui a permis à de nombreux pêcheurs de goûter au plaisir d’attraper de gros poissons et ce, plus que n’importe quel autre leurre au monde. Aucun poisson ne peut y résister. Comme les pêcheurs du monde entier ont commencé à attraper de plus en plus de gros poissons avec le leurre Rapala, on a donc conclu que ce qui les attirait était les irrésistibles vibrations et oscillations du leurre. Même si les poissons du monde entier étaient différents, les carnassiers et les vifs agissaient toujours de la même manière les gros poissons attaquaient les petits. C’est pourquoi Lauri testa chaque leurre pour s’assurer qu’il nageait exactement comme un vairon blessé. Ce n’était pas la façon la plus rapide de concevoir un leurre de pêche, mais c’était l’unique moyen de créer un leurre Rapala. À ce jour, les leurres Rapala sont toujours réglés à la main et testés en bassin pour s’assurer qu’ils nageront parfaitement bien à la sortie de leur emballage. Voilà la marque de fabrique de Rapala, une étape de production qu’aucune autre entreprise ne pratique. Et c’est lors de tous les voyages de pêche inoubliables ou des samedis après-midi passés avec son enfant au bord de l’eau, que la légende Rapala n’a cessé de grandir. Ainsi, une profonde confiance a commencé à s’installer entre les pêcheurs et Rapala. Les pêcheurs du week-end en devinrent des inconditionnels, les pères devinrent des héros aux yeux de leurs enfants, et de plus en plus de pêcheurs se sont mit à utiliser des leurres Rapala encore et encore. Pour des millions de personnes, le succès pourrait se mesurer par le nombre croissant de trophées de pêche obtenus grâce aux leurres Rapala. À ce jour, aucun autre leurre n’a obtenu autant de records du monde ! Et, comme chez Rapala, nous sommes des pêcheurs avant tout, nous savons non seulement de quoi nos amis pêcheurs ont besoin, mais aussi ce dont ils ne peuvent pas se passer. Comme ce fut le cas lorsque le Shad Rap » a explosé sur la scène de la pêche mondiale. La rumeur selon laquelle le Shad Rap a une capacité incroyable d’attraper des poissons s’est répandue comme une traînée de poudre. Les magasins se le sont arrachés à travers tout le pays. Les camps de pêche et les petits détaillants louaient même des Shad Rap à la journée, voire même à l’heure ! Oui, c’était le bon temps ! Vingt ans plus tard, il reste l’un des leurres les plus vendus au monde. De même, le jour où Rapala a sorti les Fish’n Fillet », ces couteaux ont révolutionné le filetage pour des millions de pêcheurs. Jusque-là, leurs expériences dans ce domaine étaient plutôt chaotiques. Le design effilé et la flexibilité unique du Fish’n Fillet » ont rendu le filetage plus facile. C’est la raison pour laquelle ils restent à ce jour les meilleurs couteaux de pêche du monde. Et là, un premier jalon fut posé. Le succès de l’Original Floater, du Shad Rap et du Fish’n Fillet » ont été suivis par d’autres produits de la marque Rapala, qui ont à leur tour tracé leur chemin vers les boîtes à leurres, et sont rentrés dans les annales. Partout dans le monde entier, grâce à Rapala, vous découvrez de supers coins de pêche et une raison pousse de plus en plus de pêcheurs à faire confiance à la marque les produits signés Rapala rendent les pêcheurs plus performants. Cette confiance s’étend sur 140 pays et se confirme chaque année par les 20 millions d’exemplaires de leurres vendus. Aucun produit n’est lancé précipitamment sur le marché au contraire, ils sont soigneusement élaborés après des années d’études et de tests. Pas de leurres lancés sur le marché précipitamment, pas d’artifice, pas de déception et que du bonheur à venir. Il s’agit d’un héritage d’une qualité irréprochable qui a pu être constaté sur tous les leurres, tous les couteaux de pêche et tous les accessoires. Un héritage qui perdure avec les nouvelles offres de Rapala qui propose plus de leurres, de nouvelles actions, de nouvelles tailles, de nouveaux coloris, de nouveaux designs, de nouveaux outils, de nouveaux accessoires et de nouvelles astuces pour attraper plus de poissons. Après des dizaines de millions de sandres, truites, bars, Wahoo », Snooks », tarpons … pris au Rapala, la marque domine toujours le marché, malgré l’apparition de nombreuses autres marques concurrentes. Parce qu’en dépit de cela, une seule vérité perdure ce qui est irrésistible pour le poisson le sera également pour le pêcheur.
Il n'est de richesses que d'hommes , écrivait Jean Bodin au xvie siècle. L'économiste et philosophe français avait vu juste. Au prix du mètre carré, la peau humaine, ou plus précisément l'épiderme de culture, vient en tête de notre mercuriale, bien avant les bureaux les plus chers du monde à Tokyo, la fourrure la plus somptueuse la zibeline ou le vignoble le plus prestigieux le château-latour. Rassurant, non ? Comparer l'incomparable, marier des carpes et des lapins, c'est de cette idée biscornue qu'était né, dans L'Expansion du 7 janvier 1993, un classement des prix au kilo. On y découvrait notamment que la ciboulette coûte plus cher qu'un porte-avions ! Un an et quelques mois plus tard, nous rééditons l'exercice, avec une variante puisque cette fois la référence de base n'est plus le poids mais la surface. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Exercice gratuit ? Pas forcément un fourre-tout insolite est parfois aussi révélateur qu'une série homogène. Qui sait, par exemple, qu'une moquette en laine, haut de gamme il est vrai, coûte moitié plus cher que le Kevlar, symbole de haute technologie ? Ou que le banal denim de nos jeans vaut 1 franc de mieux que le vélin d'Arches, ce papier réservé aux éditions les plus rares ? Ou encore que la terre agricole de Loire-Atlantique est treize mille fois moins chère qu'un terrain constructible dans le très populaire 19e arrondissement de Paris ? Les terrains, justement, parlons-en. Voués aux cultures courantes et à l'élevage, ils ne valent rien ou presque parfois moins de 1 franc le mètre carré Creuse, Loire-Atlantique, à peine 10 dans le meilleur des cas Alpes-Maritimes. Dédiés à Bacchus, ils grimpent, mais sans s'envoler pour autant 12 francs le mètre carré pour le côtes-du-rhône villages, 18 pour le muscadet de Sèvre et Maine, 50 pour le bourgogne, 68 pour le bordeaux. Même le champagne est à la portée de toutes les bourses 160 francs. Il est vrai qu'il s'agit là de prix moyens recensés dans Regards sur le foncier, revue de la Société d'aménagement foncier et d'établissement rural-Safer ; certains vignobles sont évidemment beaucoup mieux cotés, tel le château-latour, premier grand cru du Médoc, dont 56,7 hectares ont été payés 690 millions de francs en juin dernier par le Groupe Pinault-Printemps, ce qui correspond à un prix au mètre carré de 1 216 francs, cinq fois moins toutefois qu'un terrain constructible en banlieue parisienne. De fait, on change d'ordre de grandeur avec le foncier urbain 9 000 francs dans le 19e arrondissement, 45 000 dans le bon 16e. A noter, au passage, que dans le 19e le mètre carré de logement 13 595 francs coûte nettement plus cher que le mètre carré de foncier, alors qu'il vaut presque moitié moins 24 430 dans le 16e. A croire que les promoteurs immobiliers ont leur propre arithmétique ! L'ascension des prix se poursuit lorsqu'on aborde le secteur des bureaux, pourtant bien déprimé depuis quelques années 52 000 francs dans les quartiers d'affaires à Paris. Un chiffre cependant largement inférieur aux 250 000 francs pratiqués dans le centre de Tokyo voir l'article de Gilles Pouzin, Bureaux le tour du monde des prix , dans L'Expansion du 21 avril. Signe des temps avec 1 million de francs, on peut se payer, au choix, un deux-pièces de 40 mètres carrés dans le 16e ou 120 hectares de prairies dans la Creuse. Toujours à Paris, détail amusant si l'on peut dire une concession perpétuelle vaut 11 797,6 francs au Père-Lachaise, et même près de 20 000 francs si la sépulture borde une avenue information aimablement fournie par les Pompes funèbres générales. Les familles désargentées ont heureusement la possibilité de se rabattre sur le cimetière de Thiais seulement 4 836,4 francs. Précision importante ces prix doivent être multipliés par deux pour avoir un sens puisque, en règle générale, la surface d'une concession est de 2 mètres carrés. C'est la peau humaine, on l'a vu, qui figure en tête de ce palmarès des prix. Mais attention ! Il est question l'épiderme de culture, c'est-à-dire d'une peau spécialement traitée pour s'autodévelopper, en attendant l'heure de la greffe. Information pratique refaire la peau d'un grand brûlé revient à quelque 300 000 francs. La peau brute, elle, ne coûte que 40 000 francs le mètre carré, cinq fois moins que la zibeline bargouzine 200 000, ce délicat mustélidé qui hante les forêts du Japon et de la Sibérie. Le vison, l'astrakan et, surtout, le mouton loutré sont beaucoup plus abordables les prix des fourrures nous ont été communiqués par la société Sprung Frères. Selon ses moyens, on peut couvrir ses parquets avec des tapis anciens 125 000 francs le mètre carré pour un Héréké en soie, un carrelage en marbre rose vieilli à l'acide 931 francs ou une épaisse moquette tissée laine 760 francs. Pour les baies vitrées, une glace claire 21 francs suffit généralement, mais le vitrage réfléchissant pyrolytique 80 francs est beaucoup plus confortable. Avis aux annonceurs comment estimer ce que coûte une publicité dans un journal à partir du seul critère de la surface ? La démarche est simple 1. repérer les tarifs d'une pleine page en consultant un annuaire spécialisé, par exemple Tarif média ; 2. tenir compte du format pour obtenir un prix au mètre carré ; 3. diviser le montant obtenu par la diffusion. Résultat des courses 2,8 francs dans Télé 7 jours, 4,4 dans L'Express, 5,2 dans Le Monde. Si on veut voir sa tête affichée sur les Abribus parisiens, il faut compter nettement plus 265 francs. Bien entendu, le calcul est strictement théorique, car aucun journal ne vendrait une page de pub dans un seul exemplaire. Ce classement des prix peut aussi servir de jeu-test pour définir votre profil psychologique. Ainsi, à l'intérieur d'une fourchette allant de 1 000 à 1 500 francs, quel mètre carré vous ferait le plus plaisir la peau de lézard, deux ou trois pieds de vigne de château-latour, un tissu d'ameublement 59 % soie fabriqué par Verel de Berval, quelques rouleaux de pellicule Kodachrome EES 800 ultrarapide ou bien le toujours apprécié carré Hermès ? Moi, ce serait plutôt le château-latour. VAN GOGH PLUS DE 1 MILLIARD LE METRE CARRE ! En octobre 1987, le milliardaire australien Alan Bond avait fait monter les enchères jusqu'à 54 millions de dollars pour s'offrir l'un des plus célèbres tableaux de Van Gogh, Les Iris 71 cm x 93 cm, soit 87 millions de dollars le mètre carré. Depuis, l'acquéreur l'a revendu au musée Paul Getty de Malibu Californie. Mais le record a été battu en mai 1990, chez Christie's un Japonais anonyme s'adjuge pour 82,5 millions de dollars un autre Van Gogh, Le Docteur Paul Gachet 68 cm x 57 cm, soit 213 millions de dollars le mètre carré. Libellée en francs, la facture est de l'ordre de 1,1 milliard. Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
leurre le plus cher du monde