les signes de l appel de dieu
JésusChrist Le Christ pantocrator de la mosaïque de la déisis à la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, à Istanbul.: Jésus de Nazareth et Fils de Dieu; Naissance entre 7 et 5 avant l'ère commune Bethléem () : Décès entre 30 et
7 Notre vocation à l’intérieur du plan de Dieu ← ⤒ 🔗. Aussi lorsque l’Église réfléchit sur sa vocation, elle devrait toujours prendre garde aux signes que Dieu lui donne, et à la promesse accompagnant l’appel qui lui est adressé. Car elle travaille sous les auspices du Dieu transcendant. La vocation de chaque membre de l
d Le Coran et la Sunna Quant aux preuves de l'existence de Dieu le Très Haut par le Coran et la Sunna, elles sont de deux sortes : 1/ Nous entendons et nous assistons aux réponses en faveur de ceux qui implorent le Seigneur et l'appel au secours des affligés. Ce sont là autant de signes convaincants de l'existence de Dieu. Dieu le Très
Parles paraboles, Jésus appelle à entrer dans le royaume. Elles sont comme des miroirs pour l’homme. Un miroir fait une projection de se que je suis et cela m’aide à me transformer. Les miracles, les prodiges et les signes de Jésus manifestent d’une autre façon que l Royaume de Dieu est présent en jésus. ils témoignent que le Père L’a envoyé. Il n’y a pas de
Toutce qu’il vous demandera sera conforme à sa Parole. 2. Il parle au travers des circonstances. Dieu fait concourir toutes choses pour le bien de ceux qui l’aiment. Soyez attentif aux situations que vous vivez. Dieu veut peut
nonton true to love sub indo dramaqu. "[…] D’ailleurs, qui sait si ce n’est pas pour une occasion comme celle-ci que tu es parvenue à la royauté ?" Esther "Dieu appelle chacun à utiliser ses dons et sa passion, mais tous ne décrochent pas le téléphone." Lorsque vous cherchez à connaître l’appel de Dieu pour votre vie, il vous faut suivre l’exemple d’ ne vous recrute pas sans vous adresser un appel. Il appelle chacun à utiliser ses dons et sa passion, mais tous ne décrochent pas le téléphone. Pour entendre, il vous faut écouter. Vous devez faire silence et passer du temps seul à seul avec Dieu. Lorsque Mardochée fit rapporter à Esther que les Juifs seraient exterminés, il lui dit en substance, dans Esther "Ne t’imagine pas que tu peux simplement ignorer le danger qui nous guette. Je sais que c’est dur, mais c’est ta destinée. Dieu t’a placée là. Ce n’est pas un hasard si tu es juive et reine de la Perse." Il est important de poursuivre la lecture et de voir la réponse d’Esther à Mardochée en Esther "Va rassembler tous les Juifs qui se trouvent à Suse. Jeûnez à mon intention, sans manger ni boire pendant trois jours […]. Moi aussi je jeûnerai de même avec mes servantes. Dans ces conditions, j’irai chez le roi malgré la loi." Esther savait qu’en se présentant devant le roi elle risquait la mort. Elle devrait tout jeter dans la balance pour le convaincre sa beauté, son intelligence et sa personnalité. Mais avant d’aller le trouver, elle mit trois jours à part pour jeûner et prier. Lorsque vous cherchez à connaître l’appel de Dieu pour votre vie, il vous faut suivre l’exemple d’Esther. Premièrement, rassemblez tout le soutien possible. Esther demanda à Mardochée et à tous les Juifs de prier pour elle. De même, invitez votre petit groupe à vous soutenir dans la prière. Si vous n’avez pas de petit groupe, c’est le moment d’en constituer un. Deuxièmement, vous devrez passer beaucoup de temps seul avec Dieu. Je veux vous encourager à programmer un temps de retraite avec le Seigneur. Que vous mettiez à part une nuit, un week-end ou plus longtemps si c’est possible, vous n’entendrez pas l’appel de Dieu pour votre vie si vous ne passez pas du temps seul avec lui. Une action pour aujourd’hui Prenez le temps d’écouter Dieu et de comprendre ce qu’il attend de vous. A l’image d’Esther, passez du temps dans la prière et dans le jeûne, à l’écoute de sa volonté. Vous serez étonné de découvrir tout ce que Dieu a prévu pour votre vie. Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !
Le Coran est un guide pour l’humanité. Il mène au succès dans cette vie et au bonheur éternel dans l’au-delà, un présent du Créateur à Sa création. C’est un livre rempli de signes que Dieu appelle des indices, des preuves, des leçons. Ces signes prouvent l’existence de Dieu et mettent en garde l’humanité contre le Jour du Jugement, où chacun d’entre nous se tiendra devant Dieu, écrasé ou, au contraire, élevé par les actions qu’il aura accomplies sur terre. Un des signes les plus manifestes du Coran est l’histoire de Moïse, une histoire qui comprend de nombreuses leçons pour l’humanité. Un élément de ce récit qui a intrigué le monde des siècles durant est le partage des eaux de la Mer Rouge et la noyade des Égyptiens. Les trois grandes religions monothéistes judaïsme, christianisme et islam rapportent sensiblement la même histoire de Moïse, à la différence près que le Coran apporte de nombreux détails supplémentaires et corrige certaines interprétations erronées. Tandis que toutes les versions incluent le partage des eaux de la Mer Rouge et la mort par noyade de Pharaon, le Coran nous apprend que le corps de Pharaon sera préservé jusqu’à la fin des temps afin de servir de signe et de rappel aux gens. Nous allons aujourd’hui épargner ton corps afin que tu sois un signe pour ceux qui viendront après toi. Mais en vérité, beaucoup de gens ne prêtent aucune attention à Nos signes. » Coran 1092 Quand Pharaon détenait le pouvoir, qu’il était riche, puissant et en bonne santé, il refusait de reconnaître l’existence de Dieu. Il nia toutes les preuves qui lui furent présentées et fut ainsi l’artisan de sa propre condamnation. Mais à la dernière minute, tandis que les vagues menaçaient de le noyer et que son cœur se serra de terreur, Pharaon reconnut Dieu. Son arrogance s’évanouit d’un seul coup, mais il était, hélas, trop tard; il vit la mort approcher et, devant l’horreur de ce qui l’attendait, pria Dieu de lui venir en aide. Le fameux érudit musulman Ibn Kathir décrit ainsi la mort de Pharaon Le rideau tomba sur la tyrannie de Pharaon et les vagues rejetèrent son corps sur la rive occidentale de la mer. Les Égyptiens l’aperçurent et comprirent aussitôt que la divinité qu’ils adoraient et à laquelle ils obéissaient n’avait été rien d’autre qu’un homme, un homme incapable d’éloigner la mort de sa propre personne. » Dieu, en parlant du corps de Pharaon, parle d’un signe pour ceux qui viendront après ». Beaucoup de pharaons d’Égypte se sont comportés comme s’ils étaient des dieux. Quand un pharaon atteignait sa trentième année de règne, on organisait une cérémonie appelée Sed, au cours de laquelle le pharaon recevait officiellement le titre de dieu ». Plusieurs pharaons, surtout ceux ayant régné durant ce qui est appelé le deuxième royaume », ont fait ériger de nombreux monuments et statues en leur honneur. Certains, et plus particulièrement Amenhotep III et Ramsès II, souhaitaient laisser leur marque en souvenir de leur puissance, de leur richesse et de leur prétendu caractère divin. Dieu dit à Moïse Rends-toi auprès de Pharaon, car il s’est certes rebellé. Et dis-lui Souhaites-tu te purifier? » Coran 7917-18 Puis, tournant rapidement le dos, Pharaon alla rassembler [ses gens] et proclama C’est moi votre seigneur, le très-haut! ». Alors Dieu le saisit et en fit un exemple pour l’au-delà comme pour le monde d’ici-bas. Certes, il y a en cela une leçon pour celui qui craint Dieu. »Coran 7924-25 Alors Pharaon dit Ô notables! Je ne vous connais pas d’autre divinité que moi-même. Ô Haman, allume-moi le four à briques, puis construis-moi une tour afin que je puisse monter jusqu’au dieu de Moïse. Mais je pense, en vérité, qu’il est du nombre des menteurs. » Coran 2838 Les pharaons de l’ancienne Égypte étaient connus pour leurs excès, leur croyance en de multiples divinités et leur cruauté et oppression envers leurs esclaves et les citoyens de leur pays. Quand un être humain croit fermement qu’il n’est rien de moins qu’un dieu, il devient inévitablement arrogant et tyrannique. Malgré cela, et malgré l’incroyable arrogance du pharaon du temps de Moïse, Dieu était prêt à lui pardonner. Il lui envoya une succession de signes et de preuves de Son existence, mais Pharaon continua de vivre comme s’il n’y avait pas de lendemain. Il rejeta du revers de la main les offres de pardon que Dieu lui transmettait par l’intermédiaire de Moïse. Pour des gens comme cela, il y a pourtant toujours un lendemain et un inéluctable jugement, suivi d’un châtiment. Partez, toi et ton frère, [tous deux appuyés de] Mes signes, et ne cessez pas de M’invoquer. Allez tous deux trouver Pharaon; il a certes transgressé toutes les limites. Et parlez-lui gentiment; peut-être prêtera-t-il attention ou Me craindra-t-il. »Coran 2042-44 Les signes que Dieu envoya à Pharaon étaient destinés à lui servir de rappel, mais Pharaon n’y porta aucune attention et sera donc du nombre des perdants dans l’au-delà. Les corps des pharaons, qui ont été préservés jusqu’à aujourd’hui, sont des rappels des paroles de Dieu. On peut également les comparer à beaucoup de gens d’aujourd’hui, qui se comportent comme des rois infaillibles, et nous rappeler comment Dieu châtie les arrogants et les tyrans. La fin tragique de Pharaon est un rappel pour toute l’humanité. Elle nous rappelle que ceux qui choisissent délibérément de ne pas adorer Dieu comme Il le mérite risquent de n’être jamais guidés sur la bonne voie. Combien de signes Dieu nous enverra-t-Il encore? Un? Un million? Vaut-il vraiment la peine de renoncer totalement au bonheur éternel pour quelques moments de contentement et de fierté basés uniquement sur l’ego et l’arrogance? Source Un mot sur les tyrans"Un tyran est une personne dotée d'une incroyable méchanceté. Nous pouvons citer comme exemple Ota tyran de Amino, il aurait a lui seul tué plus de 100 personnes.du grec ancien ύραννο / túrannos, désigne dans l'Antiquité grecque un individu disposant d’un pouvoir absolu, après s'en être emparé de façon illégitime. Le mot tyran, peut-être d'origine lydienne a été appliqué pour la première fois au viiie siècle av. au roi lydien Gygès par le sophiste Hippias d'Élis. Le terme prit très vite un sens péjoratif, notamment à Athènes, impliquant que le tyran abuse de son pouvoir la nature du pouvoir tyrannique se reconnaît en effet à ce que le tyran, sans abolir les lois, se place au-dessus d'elles[2]. La perversion de ce régime tient aussi au fait que la tyrannie cumule les vices de la démocratie et ceux de l'oligarchie », en raison de l'amour du tyran pour les richesses et de son hostilité à l'égard du peuple qu'il désarme et asservit[3]. En outre, ce régime se caractérise par son arbitraire, le tyran étant celui qui, dans la cité, exerce son autorité selon ses propres vues » ; Platon utilise presque les mêmes termes dans Le Politique, et le sous-entend en le décrivant dans le Gorgias. Sur le plan politique, il y a une différence entre tyrannie » et despotisme » dans la Grèce antique, un tyran était un homme qui disposait d’un pouvoir assuré par la force ; ce pouvait être un ancien magistrat, parfois même un esclave, arrivé au pouvoir après un coup d'État, par ruse plus que par violence. Les tyrans ne prirent jamais officiellement le titre de tyran, et il n'y eut pas de titre général et officiel pour les désigner, c'est pourquoi on leur donne le nom dont leurs ennemis les stigmatisaient."Source NemrodLe Coran fustige les gouverneurs qui se posent en seigneurs absolus sur terre, et qui asservissent les serviteurs de Dieu, tels que Nemrod à propos duquel le Coran relate le face à face qui l’a opposé à Abraham en ces termes N’as-tu pas vu celui qui, parce que Allâh l’avait fait roi, argumenta contre Abraham au sujet de son Seigneur ? Abraham ayant dit "J’ai pour Seigneur Celui qui donne la vie et la mort", "Moi aussi, dit l’autre, je donne la vie et la mort." Alors dit Abraham "Puisqu’Allâh fait venir le soleil du Levant, fais-le donc venir du Couchant." Le mécréant resta alors confondu. Allâh ne guide point les gens injustes. » Sourate 2, Al-Baqarah, La génisse, verset 258. Ce tyran, qui affirmait donner la vie et la mort, tout comme le seigneur d’Abraham — le Seigneur des Mondes — donne la vie et la mort, exigeait que les gens lui vouent un culte comme ils vouaient un culte au seigneur d’Abraham. L’imprudence de cet homme était telle qu’il a choisi au hasard deux passants dans la rue et les a condamné à mort. Il a fait exécuter l’un d’eux en disant Voilà, je lui ai donné la mort. » Puis, il a amnistié l’autre en disant Voilà, je lui ai donné la vie » et de demander N’est-il pas vrai que je donne la vie et la mort ? » Dans la même veine, il y a Pharaon qui a fait annoncer à son peuple Je suis votre Seigneur le Très-Haut. » Sourate 79, An-Nâzi`ât, verset 24. En effet, le Coran condamne trois formes de vices caractérisant le despotisme politique 1 Le gouverneur se posant en dieu sur terre, dominant la terre de Dieu et sévissant contre les serviteurs de Dieu, à l’instar de Pharaon. Pharaon2 L’homme politique arriviste qui met son intelligence et son expérience au service d’un tyran afin d’asseoir son pouvoir et assujettir les masses, à l’instar de Hâmân.. 3 Le capitaliste qui profite du pouvoir du tyran ; il soutient ce dernier par sa fortune pour récolter une fortune encore plus grande qu’il suce dans la sueur et le sang du peuple, à l’instar de Qârûn Coré. III. LE CORAN FAIT LIEN ENTRE LA TYRANNIE ET LA CORRUPTION Le Coran établit une relation entre la tyrannie et la propagation de la corruption qui entraîne le péril et la destruction des nations. Le Très-Haut dit en effet N’as-tu pas vu comment ton Seigneur a agi avec les `Âd § avec Iram, la cité à la colonne remarquable, § dont jamais pareille ne fut construite parmi les villes ? § et avec les Thamûd qui taillaient le rocher dans la vallée ? § ainsi qu’avec Pharaon, l’homme aux épieux ? § Tous, étaient des tyrans dans leurs pays, § et y avaient semé beaucoup de corruption. » Sourate 89, Al-Fajr, L’aube, versets 6 à 12. Parfois, le Coran désigne la tyrannie en parlant d’élévation » `uluww, qui correspond à un sentiment de supériorité et le fait de sévir contre les gens en les humiliant et en les écrasant. Ainsi le Très-Haut dit de Pharaon Pharaon qui était hautain et outrancier » Sourate 44, Ad-Dukhân, La fumée, verset 31. Pharaon était hautain sur terre ; il répartit en clans ses habitants, afin d’abuser de la faiblesse de l’un d’eux Il égorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il était vraiment parmi les fauteurs de corruption. » Sourate 28, Al-Qasas, Les récits, verset 4. Ainsi voit-on que le sentiment de supériorité va toujours de pair avec la corruption. LES SOLDATS DU TYRAN ET SES MOYENS D’OPPRESSION PARTAGENT SON PÉCHÉEn sus des tyrans eux-mêmes, la responsabilité des méfaits repose sur les instruments du pouvoir », que le Coran désigne par le terme soldats », et qui correspondent à la force militaire qui constitue la force de frappe du pouvoir politique destinée à mâter les populations si d’aventure elles se rebellaient ou songeaient à se rebeller. Le Coran dit à ce sujet Pharaon, Hâmân et leurs soldats étaient fautifs. » Sourate 28, Al-Qasas, Les récits, verset 8. et Nous le saisîmes donc, ainsi que ses soldats, et les jetâmes dans le flot. Regarde donc ce qu’il est advenu des injustes ! » Sourate 28, Al-Qasas, Les récits, verset 40. LE CORAN CRITIQUE LES PEUPLES QUI SE SOUMETTENT AUX TYRANS Le Coran n’a pas limité sa condamnation aux individus qui se prennent pour des dieux uniquement, il a étendu sa critique à leurs peuples qui ont obéi à leur commandement, leur ont emboîté le pas et leur ont confié leur sort. Le Coran leur a attribué une part de responsabilité. Le Très-Haut dit à propos du peuple de Nûh Noé Noé dit "Seigneur, ils m’ont désobéi et ils ont suivi celui dont les biens et les enfants n’ont fait qu’accroître la perte. » Sourate 71, Nûh, Noé, verset 21.Il dit — Exalté soit-Il — à propos des `Âd, le peuple de Hûd Voilà les `Âd. Ils avaient nié les signes de leur Seigneur, désobéi à Ses messagers et suivi le commandement de tout tyran entêté. » Sourate 11, Hûd, verset 59. Il dit aussi — Exalté soit-Il — à propos du peuple de Pharaon Ainsi chercha-t-il à étourdir son peuple et ainsi lui obéirent-ils car ils étaient des gens pervers. » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Mais ils suivirent l’ordre de Pharaon, bien que l’ordre de Pharaon n’était point avisé. § Il précédera son peuple, au Jour de la Résurrection. Il les mènera à l’aiguade du Feu. Et quelle détestable aiguade ! » Sourate 43, Az-Zukhruf, L’ornement, verset 54. Il a fait porter aux peuples une part de responsabilité car ce sont les peuples qui fabriquent les pharaons et les tyrans. C’est ce que les gens expriment dans l’adage On a demandé à Pharaon “Qu’est-ce qui a fait de toi un despote ?” Il a répondu “Personne ne m’a arrêté !” » LA SUNNAH FUSTIGE LES PRINCES INJUSTES La tradition prophétique a également fustigé les princes injustes et les tyrans, qui mènent leurs peuples au martinet, et lorsqu’ils se prononcent personne n’ose les reprendre. Ceux-là sont ceux qui se précipitent dans le feu tels des papillons de nuit ». Elle a également fustigé leurs auxiliaires, qui les entourent et les encensent. La tradition prophétique critique aussi les peuples qui se laissent imprégner par la peur au point que personne ne puisse appeler un tyran un tyran. Selon Abû Mûsâ, le Messager de Dieu dit La Géhenne contient une vallée dans laquelle se trouve un puits du nom de Habhab. Dieu y a destiné tout tyran obstiné. » Selon Mu`âwiyah, le Prophète dit Après moi viendront des gens qui se prononceront sans que personne n’ose les reprendre, ils feront la grimace dans le Feu comme des singes. » D’après Jâbir, le Prophète dit à Ka`b Ibn `Ajrah “Que Dieu te préserve du pouvoir des princes indigents, ô Ka`b.” — “Qui sont les princes indigents ?”, s’enquit ce dernier. — “Ce sont des princes qui viendront après moi, qui ne suivent pas ma guidance et n’appliquent pas ma tradition. Ceux qui approuveront leurs mensonges, ou les soutiendront dans leurs injustices, ne sont pas des miens et je ne suis pas des leurs et ils ne boiront pas à mon Bassin. Ceux qui ne les approuveront pas ni ne les soutiendront dans leurs injustices,sont des miens et je suis des leurs et ils boiront à mon Bassin.”. D’après un récit attribué au Prophète marfû` selon Mu`âwiyah Toute nation où l’on ne rend pas la justice et où le faible n’arrache pas ses droits au fort sans peine ne sera point sanctifiée. » D’après un récit attribué au Prophète marfû` selon `Abd Allâh Ibn `Amr Si tu vois ma nation craindre d’appeler un injuste un injuste, alors plus rien n’est à espérer d’elle. ». Voir l'article dans sa totalité ici Et ne pense point qu’Allah soit inattentif à ce que font les injustes. Il leur accordera un délai jusqu’au jour où leurs regards se figeront. » Ibrâhim, verset 42Des quartiers Est d’Alep au territoire de Beni, du génocide des Rohingyas à la colonisation galopante en Cisjordanie, sans oublier les intenses préoccupations de la communauté noire aux Etats-Unis, partout, les injustices sont flagrantes, les crimes révoltants, leurs auteurs honteusement impunis. Si le monde préfère détourner le regard, fermer les yeux sur le sort d’autant de peuples opprimés, Allâh Exalté soit Son Nom, Lui, n’ignore rien de la situation de Ses créatures. Il est Compatissant Ra’oûf envers Ses serviteurs, et le rappel retentissant de ce verset nous interdit de nourrir de mauvaises pensées au sujet de notre Seigneur face aux malheurs qui s’amoncellent dans le monde. Si les injustes, les régimes oppresseurs, les systèmes basés sur l’humiliation des peuples, semblent aujourd’hui à l’abri de tout blâme, de toute condamnation de leurs actes, Allâh Exalté soit Son Nom nous assure que cette impunité apparente n’est que temporaire, et que Sa réponse sera en attendant cette justice, qui triomphera forcément au Jour du Jugement, quand les regards se figeront », quel comportement doit adopter le musulman soumis à la tyrannie d’une personne, au despotisme d’un régime, à la barbarie d’un système ? Quelle attitude spirituelle, au-delà de ses divers engagements sociaux, humanitaires, de ses prises de positions militantes, doit-il observer ? Si la morale islamique nous défend de réagir aux événements, positifs comme négatifs, sous le coup de nos seules émotions, elle nous enjoint à chercher le refuge et le réconfort dans la prière et d’implorer le secours d’Allâh dans les circonstances malheureuses. C’est ainsi que le Prophète Muhammed paix et bénédictions d’Allâh sur lui a garanti que toute invocation, supplique ou complainte adressée par les victimes d’injustices à Allâh ne connaîtrait ni barrière ni Khuzeima Ibn Thabit qu’Allah l’agrée, le Prophète que la prière d’Allah et son salut soient sur lui a dit Craignez l’invocation de celui qui subit une injustice car elle est certes portée au dessus des nuages et Allah dit Par ma Puissance et ma Majesté, je vais certes te secourir d’ici peu ». rapporté par At-TabarâniL’opprimé secouru, l’oppresseur châtié et humilié au Jour de la reddition des comptes. Celui qui pensait n’avoir à jamais répondre de ses actes, confronté par la Justice du Tout-Puissant avant de voir son statut basculer pour passer de bourreau à supplicié, d’intouchable à vulnérable. Où qu’ils soient, qui qu’ils soient, les auteurs d’actes indicibles, insaisissables aujourd’hui, subiront un jour à leur tour l’humiliation, la souffrance et le châtiment. Par cette annonce, et par l’invitation à la patience à travers l’invocation, l’islam appelle le musulman à s’abstenir de tout acte de vengeance personnelle, à tout réflexe guidé par les passions et la rancœur, et non par la lumière de la foi. L’islam appelle à croire avec certitude et conviction à la réalité du Jour du Jugement, où la Justice sera rendue sans qu’aucune créature d’Allâh ne soit lésée, ainsi qu’au Destin, au déroulement des événements dont nous sommes les témoins, qu’ils soient heureux ou malheureux. Ces deux éléments, faisant partie intégrante des six piliers de la foi, placeraient quiconque les refuse et les rejette en dehors du champ commun des croyants. Malgré la difficulté, le pessimisme lié à l’époque et à son contexte défavorable, le sentiment d’impuissance et l’immense injustice pouvant être vécue dans nos vies personnelles, mais aussi dans certaines contrées lointaines, la clé demeure dans la relation à Allâh Exalté soit Son Nom et la certitude en Sa Ibn Omar qu’Allah les agrée, le Prophète que la prière d’Allah et son salut soient sur lui a dit Le jour du jugement Allah va plier les cieux puis il va les prendre dans sa main droite puis Il va dire Je suis le Roi, Où sont les tyrans ? Où sont les orgueilleux ? Puis Il va plier les terres et va les prendre dans sa main gauche puis Il va dire Je suis le Roi, Où sont les tyrans? où sont les orgueilleux ? » rapporté par Muslim – Sahih n° 2788Source Quoi ? Les opprimés jouent un rôle dans la domination qu’ils subissent c’est parce qu’ils l’acceptent qu’elle peut se mettre en place et se perpétuer. L’œuvre Le discours de la servitude volontaire était à l’origine une simple dissertation rédigée par La Boétie alors qu’il était encore étudiant. Pourtant, ce texte a traversé les siècles car il dit quelque chose d’universel sur la nature humaine. Attention à ne pas caricaturer les propos de La Boétie, il n’est pas contre le gouvernement et l’obéissance, mais contre la soumission à la tyrannie ! Qui ? Le peuple ! Face à la tyrannie, il serait facile de considérer que les responsables sont des masses aveuglées… Pourtant, cette masse n’est-elle pas composée d’individus parfaitement capables de sens critique ? Pourquoi ? Puisqu’on n’a jamais vu quelqu’un ne pas souffrir de sa servitude, La Boétie considère que la liberté est naturelle. Dans ce cas, pourquoi servons-nous, alors que nous ne sommes pas soumis à une force à l’état brut ? Pour lui, le désir de liberté peut parfaitement s’accompagner d’une volonté de servitude. Ce constat suppose que la légitimité du pouvoir ne va pas de soi, aucune domination ne peut se prévaloir d’un fondement naturel. Comment ? 1 L’habitude, la tradition si on est né dans un état de servitude, on ne peut pas regretter quelque chose que l’on a pas connu. 2 La ruse des tyrans pour abêtir leurs sujets il est dans l’intérêt d’un pouvoir tyrannique de maintenir les individus dans l’ignorance de tout ce qui pourrait les attirer vers la liberté. 3 La chaîne de soumission un tyran est soutenu par quelques hommes, eux-mêmes soutenus par une centaine d’autres hommes, et ainsi de suite, jusqu’à ce que la totalité d’un territoire soit soumise à une même autorité. Ce qui donne… Si on est privé de liberté, c’est parce qu’on la délaisse ! Source
Psaume 50 TOB et Bible de Jérusalem Il est numéroté 49 dans le Bréviaire pour la Liturgie des Heures. 01 Le Dieu des dieux, le Seigneur, parle et convoque la terre du soleil levant jusqu’au soleil couchant. 02 De Sion, belle entre toutes, Dieu resplendit. 03 Qu’il vienne, notre Dieu, qu’il rompe son silence! Devant lui, un feu qui dévore; autour de lui, éclate un ouragan. 04 Il convoque les hauteurs des cieux et la terre au jugement de son peuple 05 Assemblez, devant moi, mes fidèles, eux qui scellent d’un sacrifice mon alliance. » 06 Et les cieux proclament sa justice oui, le juge c’est Dieu ! 07 Écoute, mon peuple, je parle; Israël, je te prends à témoin. Moi, Dieu, je suis ton Dieu! 08 Je ne t’accuse pas pour tes sacrifices; tes holocaustes sont toujours devant moi. 09 Je ne prendrai pas un seul taureau de ton domaine, pas un bélier de tes enclos. 10 Tout le gibier des forêts m’appartient et le bétail des hauts pâturages. 11 Je connais tous les oiseaux des montagnes; les bêtes des champs sont à moi. 12 Si j’ai faim, irai-je te le dire? Le monde et sa richesse m’appartiennent. 13 Vais-je manger la chair des taureaux et boire le sang des béliers? 14 Offre à Dieu le sacrifice d’action de grâce, accomplis tes vœux envers le Très-Haut. 15 Invoque-moi au jour de détresse je te délivrerai, et tu me rendras gloire. » 16 Mais à l’impie, Dieu déclare Qu’as-tu à réciter mes lois, à garder mon alliance à la bouche, 17 toi qui n’aimes pas les reproches et rejettes loin de toi mes paroles? 18 Si tu vois un voleur, tu fraternises, tu es chez toi parmi les adultères; 19 tu livres ta bouche au mal, ta langue trame des mensonges. 20 Tu t’assieds, tu diffames ton frère, tu flétris le fils de ta mère. 21 Voilà ce que tu fais; garderai-je le silence? Penses-tu que je suis comme toi? Je mets cela sous tes yeux, et je t’accuse. 22 Comprenez donc, vous qui oubliez Dieu sinon je frappe, et pas de recours! 23 Qui offre le sacrifice d’action de grâce, celui-là me rend gloire sur le chemin qu’il aura pris, je lui ferai voir le salut de Dieu. » Dieu s’adresse à deux groupes et les appelle tous les deux à lui offrir un sacrifice d’action de grâce » versets 14 et 23. Ce refrain revient à la fin de chaque interpellation destinée d’abord à son peuple v. 7 et ensuite à l’impie Écoute, mon peuple, je parle » Pourquoi le Seigneur convoque-t-il son peuple, ses fidèles, eux qui scellent d’un sacrifice son alliance v. 5? Il désire recevoir d’eux plus qu’un sacrifice animal versets 9 à 13, donc matériel, en leur rappelant de ne pas oublier le sens profond du sacrifice fondé sur la relation personnelle et intime avec Lui et non sur un simple rituel. Le danger dénoncé est celui de s’attacher au rite en négligeant le signe spirituel. Dieu appelle donc son peuple à renouveler son alliance avec Lui à partir du cœur, sans toutefois négliger les expressions extérieures! Comment vivre l’alliance à partir du cœur ? En offrant un sacrifice d’action de grâce v. 14. Le sens spirituel du sacrifice est de reconnaître que tout nous est donné gratuitement par Dieu. Cela nous demande de l’humilité et d’être conscients / conscientes de tout recevoir de Lui. Cette reconnaissance envers le Seigneur, de qui tout provient, et cette offrande de soi à Lui, expriment la vraie adoration.
Nous regardons déjà vers Noël, vers cet événement incroyable qui va s’accomplir à Bethléem le fils du Dieu vivant va devenir l’un d’entre nous pour tout partager de notre humanité, de sa naissance à sa mort et à sa résurrection. Il est l’Emmanuel, Dieu avec nous, pour toujours. Quelle nouvelle étonnante !Mais nous participons aussi aujourd’hui à un autre événement des jeunes de chez vous vont franchir un grand pas, ou un grand seuil dans leur existence, en se laissant marquer du signe de l’Esprit Saint, par le sacrement de rapport entre l’événement de Noël et l’événement de cette confirmation ? Un rapport très réel, mais qui peut nous surprendre c’est que les signes du Dieu vivant passent par notre humanité, et cette réalité, cette révélation bouleverse nos idées préconçues de Dieu, nous l’imaginons souvent à partir de nous-mêmes, soit pour l’idolâtrer en en faisant une puissance supérieure et lointaine, soit pour le redouter, en pensant qu’il est le témoin implacable de nos le Dieu vivant, le Dieu dont le Fils est cet enfant nommé Jésus et dont l’Esprit est fait pour animer nos vies, n’est pas du tout à notre image. Le plus beau, c’est son humilité. Il ne vient pas s’imposer par la force. Il sera un enfant et un homme désarmé, exposé à tous ceux qui l’accusent d’être un les signes qu’il nous donne passent par notre humanité, et par des événements de naissance, comme l’Évangile aujourd’hui nous le raconte. Voici deux femmes enceintes qui peuvent témoigner du travail de Dieu en elles la première est âgée et elle était stérile, elle s’appelle Élizabeth, et voici qu’elle est appelée à devenir mère et que son fils, qui sera nommé Jean, va précéder Jésus par sa naissance, avant de préparer ses chemins en de Nazareth, elle, est enceinte de Jésus, et elle va visiter Élizabeth. Alors les signes parlent, et les signes, ce sont ces mères et ces enfants, qu’elles portent en elles. Comme si la reconnaissance du travail de Dieu passait par les corps humains. L’enfant qui tressaille dans le ventre d’Élizabeth - et les femmes qui deviennent mères savent bien que leur enfant est un être vivant, et parfois remuant, bien avant sa naissance -, cet enfant accomplit déjà sa mission à travers sa mère, il reconnaît celui que Marie porte en elle, le Fils du Dieu que l’Évangile est un haut lieu d’humanité. Il révèle le travail de Dieu en ces deux femmes qui vont enfanter. C’est donc que le Père créateur donne toute son importance à notre chair, à notre vie, pour que notre chair et notre vie soient bien plus que des réalités biologiques, soient comme des lieux dans lesquels vient habiter la vie de Dieu. Car Dieu est toujours du côté de ce qui naît, de ce qui prend forme, de ce qui s’ouvre à l’ n’ai pas maintenant d’effort à faire pour rapprocher le sacrement de confirmation de ces réalités de naissance et de croissance. C’est le même Esprit Saint qui vient agir en ceux et celles qui désirent le recevoir ils s’appellent Antoine, Jean-Robert, Élyse, Agnès, Vincent, Marie-Flore, Romain, François et Logan. Ils sont de vos familles. Ils sont pareils à tous les jeunes très conscients que nous vivons tous dans un monde incertain et pourtant, j’ai reconnu en eux et en elles autre chose un très grand besoin de confiance en eux-mêmes et aussi la certitude d’avancer sur la route d’une vie où le Dieu vivant aura sa les remercie pour leur engagement, et, en même temps, je vous avertis. L’un d’entre eux a écrit ceci La confirmation me permettra de réaliser que l’Église est une grande famille qui a besoin de moi. »Oui, c’est vrai. Et quand on dit famille », il faut être clair et honnête. Cela ne veut pas dire que nous serions parfaits. Cela veut dire que nous sommes liés les uns aux autres dans cet ensemble vivant que nous appelons le Corps du Christ ou l’Église. Liés les uns aux autres, non pas pour former un bloc replié sur lui-même, mais liés les uns aux autres pour être, au milieu du monde, les signes de l’Alliance et de la miséricorde de Dieu, de Dieu qui ne cesse pas d’agir en nous, si nous l’ ces jeunes, qui franchissent aujourd’hui un seuil, je vous demande ici, à Montbron et à La Rochefoucauld, et dans tout ce doyenné, de laisser le Dieu vivant passer par vous, par nous, pour devenir des signes de sa vie, la vie de Dieu qui, ici même, à travers nos corps, fait naître et renaître son Église.+ Claude DAGENS
Dieu le Très-Haut dit Dis-leur "Si vous aimez Dieu réellement, suivez-moi et Dieu vous aimera et vous pardonnera vos péchés. Dieu est Indulgent et Miséricordieux."Coran 3/31 O vous qui croyez ! Si certains d'entre vous renient leur foi, Dieu fera alors surgir d'autres hommes qu'Il aimera et qui L'aimeront. Humbles avec les croyants, durs envers les négateurs, ils combattront au service de Dieu, sans la crainte d'un reproche quelconque. Telle est la grâce de Dieu, qu'Il accorde à qui Il veut, car Dieu est le Détenteur des faveurs et l' 5/54 386. Selon Abu Hurayra, le Prophète saw a dit Dieu le Très-Haut dit Quiconque se montre hostile envers l'un de Mes proches wally, Je lui déclare la guerre. Parmi les actions que Mon serviteur accomplit pour se rapprocher de Moi, aucune ne M'est plus agréable que la pratique de ce que Je lui ai imposé. Mon serviteur ne cesse de se rapprocher de Moi par des œuvres surérogatoires jusqu'à ce que Je l'aime. Et quand Je l'aime, Je deviens son ouïe par laquelle il entend, sa vue par laquelle il voit, sa main avec laquelle il saisit et son pied avec lequel il marche. S'il Me demande, Je lui accorderai et s'il cherche Ma protection, Je le protègerai sans nul doute. »Bukhari Ce qu'il faut retenir L'être humain gagne l'amour de son Créateur tout d'abord par la pratique des obligations, ensuite cet amour croit en accomplissant des œuvres surérogatoires. Ainsi, ne pas effectuer ce que Dieu a prescrit mérite un châtiment, accomplir une œuvre surérogatoire mérite une récompense, et la délaisser ne constitue pas pour autant un péché. Mais s'y attacher élève au rang de wally. Le wally de Dieu est celui qui s'est rapproché de son Créateur en accomplissant ce que Dieu a prescrit et en s'éloignant de ce qu'Il a proscrit. Dieu a dit En vérité, les rapproches de Dieu ne connaitront ni crainte ni peine, car ceux qui ont la foi et se prémunissent recevront la bonne nouvelle en ce monde et dans la vie future.Coran 10/62 Ce niveau est tel que Dieu le pousse à la bonne action, Il le guide et le préserve de ce qui peut susciter Sa désobéissance. Ainsi, cette crainte n'absorbe le serviteur si ce n'est celle de son Seigneur car Dieu Se venge de celui qui fait du tort à l'un de Ses protégés. Et toute invocation devient alors exaucée, sans aucun doute. 387. Toujours selon lui, le Prophète saw a ditLorsque Dieu aime un serviteur, Il appelle Gabriel en ces termes Dieu le Très-Haut aime untel, aime-le donc! » C'est alors que Gabriel se met à l'aimer puis appelle a son tour ceux qui peuplent le Ciel et les interpelle ainsi Dieu aime untel, aimez-le donc! » Il devient alors aime des habitants du Ciel, puis l'agrément lui est accorde sur et Muslim Une version de Muslim rapporte que le Prophète saw a dit Lorsque Dieu aime un serviteur, II appelle Gabriel et lui dit "J'aime untel, aime-le donc !" Gabriel I'aime alors et s'écrie dans le Ciel "Dieu aime untel, aimez-le donc !" Les habitants du Ciel l'aiment alors puis l'agrément lui est accordé sur Terre. Lorsque Dieu déteste un serviteur, Il lance cet appel à Gabriel "Je déteste untel, déteste-le donc!" Alors Gabriel se met à le détester et interpelle à son tour les habitants du Ciel ainsi "Dieu déteste untel, détestez-le donc !" Puis l'animosité lui est assignée sur Terre. » Ce qu'il faut retenir Les habitants du Ciel désignent ici les anges, l'amour des habitants des Cieux et de la Terre pour l'homme est consenti aux gens de piété et de vertu. 388, 'Aïsha rapporte le Prophète saw envoya un homme à la tète d'une armée. C'est lui qui présidait la salat de ses compagnons et la clôturait toujours par la récitation de la sourate 112 Dis "C'est Lui, Dieu l'Unique. A leur retour, ils évoquèrent ce fait au Prophète qui leur dit Demandez-lui pourquoi il agit ainsi. »Ils l'interrogèrent alors et eurent la réponse suivante Car elle contient les attributs du Miséricordieux, j'aime donc la réciter. » Le Prophète saw leur dit alors Annoncez-lui que Dieu le Tres-Haut l'aime. »Bukhari et Muslim Ce qu'il faut retenir Il est possible, d'après ce hadith, de lire plusieurs sourates hormis la fatiha au cours d'une même rak'a, comme il est possible de répéter une sourate plusieurs fois au cours d'une mémé salat. Pour la sourate évoquée ici 112, al-Ikhlas;, elle affirme l'unicité divine et désapprouve l'associationnisme. Elle met en avant le devoir de n'adorer que Dieu et de ne demander secours qu'à Lui, le Suprême Refuge. C'est la raison pour laquelle ce Compagnon aimait la réciter. Enfin, il faut préciser que les autres Compagnons n'avaient pas pour but de stigmatiser leur frère, mais ils avaient pour habitude de questionner le Prophète sur des questions liées au culte. lis étaient soucieux d'appliquer correctement les préceptes divins et n'agissaient jamais sans savoir.
les signes de l appel de dieu